Le Vickers Wellington est l'un des symboles de l'offensive de bombardement contre l'Allemagne. Après de lourdes pertes lors des raids diurnes du début de la guerre, les Wellington sont passés aux raids nocturnes. Ils ont continué à voler dans ce rôle pendant toute la première moitié de la guerre. Ils ont ensuite été transférés au Coastal Command, où ils ont servi comme avions anti-sous-marins. Ils constituaient l'armement des escadrilles britanniques de la RAF, mais des escadrilles étrangères, tchécoslovaques, polonaises, néo-zélandaises et canadiennes, en ont également reçu.
Le kit comprend six grappes de pièces en plastique gris, dont une avec des pièces transparentes, des pots d'échappement en résine moulée et une planche de décalcomanies. Celles-ci portent les marquages de deux appareils des escadrilles polonaises, l'un en configuration anti-sous-marine. Les autres appareils ont volé en configuration nocturne de la RAF. Outre l'appareil polonais, baptisé Elzunia (Lissie), les décalcomanies portent les marquages de deux Wellington des escadrilles de la RAF. L'un d'eux, avec un grand emblème sous le cockpit, a volé en Afrique. Le second, acquis grâce à l'argent du roi indigène Nana Sir Ofori Atta I, KBE, souverain du royaume d'Akyem Abuakwa dans la colonie britannique de la Côte-de-l'Or (aujourd'hui le Ghana), était exploité depuis la Grande-Bretagne. Le dernier appareil proposé est l'un des Wellington les plus performants du 311e Escadron (tchécoslovaque) de la RAF.